MAX ROVIRA
RÉALISATIONS
2019
Africa
220 x 160 cm
Comme l’impression de voir double ou de vivre deux vies à la fois… En écho à un art premier qui embrasse les contours des statues de l’île de Pâques si chères à Max Rovira, cette peinture interroge. Elle immortalise une schizophrénie d’une genre nouveau en incarnant une bienveillance dont la lucidité n’aurait aucune limite. Tout autant que la relation singulière de jumeaux siamois défiant la binarité de sexe et de genre.
Crazy Music
150 x 120 cm
Quand la musique devient incontrôlable et que la danse s’empare de votre âme, il ne reste plus qu’une chose à faire : se laisser porter. La peinture sert le mouvement, l’électricité enveloppant les personnages, complètement déconnectés. Les notes se bousculent. Elles ne sont plus simplement jouées mais chantées par la tête de la guitare qui prend vie.
Le client
80 x 100 cm
Elles étaient bien plus respectées autrefois même si elles étaient déjà sur le trottoir. Ce n’était pas plus tard qu’hier. Plus que d’assouvir les ardeurs de leurs clients, elles participaient à la continuité d’un lien social et humain qui, semble t’il, faisait plus de bien qu’un coup d’un soir, d’un rien. Depuis, les maisons closes ne sont plus tout autant que les connexions entretenues. Les seules qui demeurent aujourd’hui sont virtuelles. À tort ou à raison ?
Sérénade à la guitare
120 x 120 cm
Derrière les premiers mots entonnés, le cœur d’une femme qu’on souhaite annexé. Comme une danse africaine de célébration de la terre, la peinture enflamme un rituel qui ne cessera pas. Celui dédié à une séduction de chaque jour faisant de la conquête amoureuse un éternel recommencement.
MHB Bellas Artes
Exposition
Madrid | Galerie
Au 8
Exposition
Porto-Vecchio | Galerie
2018
Mandoline
150 x 120 cm
Le chant n’est pas le même mais charme la belle. Il la détourne de sa tristesse pour lui rappeler la présence de celui qui l’aime. Le sourire poindra à nouveau, c’est promis. À moins que ce ne soit déjà le cas. Dans les perspectives abstraites développées dans cette peinture, une volonté de laisser la liberté s’exprimer. Pour la laisser nous mener par le bout du nez.
Clown de la lune
100 x 100 cm
L’ivresse d’un clown peut parfois faire quelques petits miracles. En initiant entre autres l’une des plus belles danses avec la lune. Presque seul au monde, le poisson claironne et rassemble les dernières étoiles égarées. Notre-Dame-des-Anges n’est jamais bien loin.
2017
Sur le croco
220 x 150 cm
À dos de croco, un couple princier accoste sur les rives de son nouveau royaume. La clope au bec et les chevelures hirsutes témoignent d’un hommage : celui à la culture punk. Une contre-culture à dire vrai, qui dépasse la seule caricature qui en fut faite dans les années 1980. Ainsi que la récupération de ses codes premiers par le capitalisme. Dans cette perspective de mouvement d’émancipation dans lequel elle s’inscrit dès l’origine, la contre-culture punk se vit et anime la pensée libertaire. Tout autant que les avant-gardismes artistiques.
> Visiter les ateliers de Max Rovira
2016
Carnaval
150 x 120 cm
Qui n’a jamais aimé le carnaval ? Tous les enfants du monde y sont allés. Cette peinture matérialise un souvenir d’enfance. Max Rovira, déguisé, est au centre du tableau. Son frère Jean-Michel est à gauche. Il l’avait malencontreusement perdu durant les festivités. Sa peur fut immense ce jour-là. Grâce à l’aide de plusieurs adultes présents ce jour-là, représentés par le personnage de droite, il put rapidement retrouver Jean-Michel.
Pirate
80 x 120 cm
Les films de pirates figurent en bonne place parmi ceux ayant bercé la jeunesse de Max Rovira. Pour lui, ils sont tout autant de grands voleurs que des aventuriers audacieux. Les Pirates de la nuit et les Révoltés du Bounty ne craignent pas de prendre des risques. Une fois l’ancre jetée dans une crique perdue au beau milieu du Pacifique, une pause musicale s’impose avant de larguer à nouveau les amarres. Et de retrouver sur le pont Mary la Rousse, la femme pirate, pour un baiser à l’aube.
Je suis Nice
250 x 200 cm
Hommage aux victimes de l’attentat de Nice ayant eu lieu le 14 juillet 2016, cette peinture est aussi pour Max Rovira un devoir de mémoire.
Cortade Art
Exposition
Toulouse et Montauban | Galeries
Cognac’Art
Exposition
Cognac | Galerie
2015
Rachel
160 x 130 cm
Ce portrait est celui de Rachel, la fille ainée de Max Rovira. Son regard hypnotise. Il reflète également une détermination à toute épreuve face à l’adversité. Cette peinture incarne son désir de conquête et son âme de guerrière.
Nuit de poker à Collioure
600 x 220 cm
Découvrez la vidéo réalisée à l’occasion de la création de cette peinture exceptionnelle destinée à être exposée au Casino de Collioure.
Artopial
Exposition
Tokyo | Galerie
Joël Guyot
Exposition
Saint-Paul de Vence | Galerie
JP Art
Exposition
Cannes | Galerie
2014
La leçon d’accordéon
150 x 150 cm
Une pièce maîtresse évoquant un souvenir d’enfance de Max Rovira. Assis sur sa chaise, son accordéon entre les mains, il suit la mesure de son professeur sous le regard attendri de sa mère. Son petit frère Rémy lui tient la main. Dans cette atmosphère paraissant joyeuse, Max subit plus qu’il ne profite de ce moment. Il apprend à jouer de cet instrument pour faire plaisir à sa maman. Dans son dos, les rideaux laissent passer les murmures des fantômes qu’ils composent. La fenêtre au centre de la peinture, donnant directement sur le ciel, transcrit l’envie du jeune Max de recouvrer sa liberté.
Bonté divine
100 x 130 cm
Cette peinture figure parmi la série de scènes de bonté réalisées par Max Rovira sur plusieurs années. Elle renvoie à une réalité que l’artiste peintre a rencontrée. Mais également, aux enseignements qu’il en a tirés. Dans cette scène, la petite fille vit dans une profonde pauvreté. Le mendiant qui l’approche l’est tout autant qu’elle : il est affamé. Elle n’a rien à lui offrir si ce n’est sa poupée, qu’elle lui tend dans un geste d’infinie bonté. Au-dessus d’eux, des ombres les observent…
2012
Corsaires et récifs
100 x 100 cm
Cette peinture est l’une des premières appartenant à une série de plus de 100 tempêtes réalisées sur plusieurs années.
> Visiter les ateliers de Max Rovira
2010
Cendres
230 x 100 cm
Tel un écho aux tableaux de Jackson Pollock, maître de l’action painting et de l’expressionnisme abstrait.
2006
2005
2004
Travesti de la liberté
100 x 120 cm
À l’ombre, il fut l’un des fidèles compagnons de Max Rovira. À quelques mois de sa sortie, le portrait qu’il fit de son ami travesti sur le carton d’un pack de bouteilles d’eau dévoilait déjà le bout d’un tunnel. Derrière lui, on aperçoit en effet dans le mur comme un couloir dont l’entrée se serait formée avec le temps. Désormais, elle donne presque l’opportunité de franchir le seuil pour recouvrer la liberté.
2003
1995
Marchands de poissons
100 x 120 cm
On distingue dans cette peinture ce qui préfigure la réinterprétation des statues de l’Île de Pâques que Max Rovira intégrera à ses pièces suivantes. Les proportions sont volontairement inégales et le visage de chaque marchand est difficilement identifiable. Les lignes noires, soulignant entre autres les contours des personnages, renvoient à la technique du cloisonnisme.
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Galerie, ateliers et projets
Chaque peinture est une rencontre. Désirée, fortuite, capable de faire défiler toute une vie en une seule seconde. À votre tour, vivez une rencontre inattendue.
Taureau rouge | 116 x 89 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
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MAX ROVIRA
L'artiste de la tempête
L’empreinte de Max Rovira est d’abord temporelle. Sa ligne débute dans ses souvenirs de vacances avec ses parents et ses deux frères, dans les Pyrénées et dans les Alpes. En fait, à des centaines de kilomètres de Port-de-Bouc dans les Bouches-du-Rhône, une petite commune coincée entre Fos-sur-Mer et Martigues. Les bêtises, le camping, le régal de cette jeunesse insouciante tutoient d’autres moments à Laboule, en Ardèche, dans la maison de ses grands-parents.
MAX ROVIRA
Réalisations
2019
Africa | 220 x 160 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Comme l’impression de voir double ou de vivre deux vies à la fois… En écho à un art premier qui embrasse les contours des statues de l’île de Pâques si chères à Max Rovira, cette peinture interroge. Elle immortalise une schizophrénie d’une genre nouveau en incarnant une bienveillance dont la lucidité n’aurait aucune limite. Tout autant que la relation singulière de jumeaux siamois défiant la binarité de sexe et de genre.
Crazy Music | 150 x 120 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Quand la musique devient incontrôlable et que la danse s’empare de votre âme, il ne reste plus qu’une chose à faire : se laisser porter. La peinture sert le mouvement, l’électricité enveloppant les personnages, complètement déconnectés. Les notes se bousculent. Elles ne sont plus simplement jouées mais chantées par la tête de la guitare qui prend vie.
Le client | 80 x 100 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Elles étaient bien plus respectées autrefois même si elles étaient déjà sur le trottoir. Ce n’était pas plus tard qu’hier. Plus que d’assouvir les ardeurs de leurs clients, elles participaient à la continuité d’un lien social et humain qui, semble t’il, faisait plus de bien qu’un coup d’un soir, d’un rien. Depuis, les maisons closes ne sont plus tout autant que les connexions entretenues. Les seules qui demeurent aujourd’hui sont virtuelles. À tort ou à raison ?
Sérénade à la guitare | 120 x 120 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Derrière les premiers mots entonnés, le cœur d’une femme qu’on souhaite annexé. Comme une danse africaine de célébration de la terre, la peinture enflamme un rituel qui ne cessera pas. Celui dédié à une séduction de chaque jour faisant de la conquête amoureuse un éternel recommencement.
MHB Bellas Artes | Exposition | Madrid | Galerie
Au 8 | Exposition | Porto-Vecchio | Galerie
2018
Mandoline | 150 x 100 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Le chant n’est pas le même mais charme la belle. Il la détourne de sa tristesse pour lui rappeler la présence de celui qui l’aime. Le sourire poindra à nouveau, c’est promis. À moins que ce ne soit déjà le cas. Dans les perspectives abstraites développées dans cette peinture, une volonté de laisser la liberté s’exprimer. Pour la laisser nous mener par le bout du nez.
Clown de la lune | 100 x 100 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
L’ivresse d’un clown peut parfois faire quelques petits miracles. En initiant entre autres l’une des plus belles danses avec la lune. Presque seul au monde, le poisson claironne et rassemble les dernières étoiles égarées. Notre-Dame-des-Anges n’est jamais bien loin.
Inca | 169 x 89 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
2017
Sur le croco | 220 x 150 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
À dos de croco, un couple princier accoste sur les rives de son nouveau royaume. La clope au bec et les chevelures hirsutes témoignent d’un hommage : celui à la culture punk. Une contre-culture à dire vrai, qui dépasse la seule caricature qui en fut faite dans les années 1980. Ainsi que la récupération de ses codes premiers par le capitalisme. Dans cette perspective de mouvement d’émancipation dans lequel elle s’inscrit dès l’origine, la contre-culture punk se vit et anime la pensée libertaire. Tout autant que les avant-gardismes artistiques.
2016
Carnaval | 150 x 120 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée et feuilles d’or
Qui n’a jamais aimé le carnaval ? Tous les enfants du monde y sont allés. Cette peinture matérialise un souvenir d’enfance. Max Rovira, déguisé, est au centre du tableau. Son frère Jean-Michel est à gauche. Il l’avait malencontreusement perdu durant les festivités. Sa peur fut immense ce jour-là. Grâce à l’aide de plusieurs adultes présents ce jour-là, représentés par le personnage de droite, il put rapidement retrouver Jean-Michel.
Pirate | 80 x 120 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Les films de pirates figurent en bonne place parmi ceux ayant bercé la jeunesse de Max Rovira. Pour lui, ils sont tout autant de grands voleurs que des aventuriers audacieux. Les Pirates de la nuit et les Révoltés du Bounty ne craignent pas de prendre des risques. Une fois l’ancre jetée dans une crique perdue au beau milieu du Pacifique, une pause musicale s’impose avant de larguer à nouveau les amarres. Et de retrouver sur le pont Mary la Rousse, la femme pirate, pour un baiser à l’aube.
Je suis Nice | 250 x 200 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Hommage aux victimes de l’attentat de Nice ayant eu lieu le 14 juillet 2016, cette peinture est aussi pour Max Rovira un devoir de mémoire.
Cortade Art | Exposition | Toulouse et Montauban | Galeries
Cognac’Art | Exposition | Cognac | Galerie
2015
Rachel | 160 x 130 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Ce portrait est celui de Rachel, la fille ainée de Max Rovira. Son regard hypnotise. Il reflète également une détermination à toute épreuve face à l’adversité. Cette peinture incarne son désir de conquête et son âme de guerrière.
Licorne | 220 x 180 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Nuit de poker à Collioure | 600 x 220 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Découvrez la vidéo réalisée à l’occasion de la création de cette peinture exceptionnelle destinée à être exposée au Casino de Collioure.
Artopial | Exposition | Tokyo | Galerie
Joël Guyot | Exposition | Saint-Paul de Vence | Galerie
JP Art | Exposition | Cannes | Galerie
2014
La leçon d’accordéon | 150 x 150 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Une pièce maîtresse évoquant un souvenir d’enfance de Max Rovira. Assis sur sa chaise, son accordéon entre les mains, il suit la mesure de son professeur sous le regard attendri de sa mère. Son petit frère Rémy lui tient la main. Dans cette atmosphère paraissant joyeuse, Max subit plus qu’il ne profite de ce moment. Il apprend à jouer de cet instrument pour faire plaisir à sa maman. Dans son dos, les rideaux laissent passer les murmures des fantômes qu’ils composent. La fenêtre au centre de la peinture, donnant directement sur le ciel, transcrit l’envie du jeune Max de recouvrer sa liberté.
Bonté divine | 100 x 130 cm | Acrylique sur toile, vernie, résinée
Cette peinture figure parmi la série de scènes de bonté réalisées par Max Rovira sur plusieurs années. Elle renvoie à une réalité que l’artiste peintre a rencontrée. Mais également, aux enseignements qu’il en a tirés. Dans cette scène, la petite fille vit dans une profonde pauvreté. Le mendiant qui l’approche l’est tout autant qu’elle : il est affamé. Elle n’a rien à lui offrir si ce n’est sa poupée, qu’elle lui tend dans un geste d’infinie bonté. Au-dessus d’eux, des ombres les observent…
2012
Corsaires et récifs | 100 x 100 cm | Huile sur toile, vernie, résinée
Cette peinture est l’une des premières appartenant à une série de plus de 100 tempêtes réalisées sur plusieurs années.
2010
Cendres | 230 x 100 cm | Huile sur toile, vernie, résinée
Tel un écho aux tableaux de Jackson Pollock, maître de l’action painting et de l’expressionnisme abstrait.
2006
Le réveil de la sirène | 100 x 120 cm | Acrylique et nacre sur toile, vernie
2005
Autoportrait | 100 x 120 cm | Acrylique sur toile, vernie à l’œuf
2004
Travesti de la liberté | 100 x 120 cm | Acrylique sur carton, contrecollée sur bois, vernie à l’œuf
À l’ombre, il fut l’un des fidèles compagnons de Max Rovira. À quelques mois de sa sortie, le portrait qu’il fit de son ami travesti sur le carton d’un pack de bouteilles d’eau dévoilait déjà le bout d’un tunnel. Derrière lui, on aperçoit en effet dans le mur comme un couloir dont l’entrée se serait formée avec le temps. Désormais, elle donne presque l’opportunité de franchir le seuil pour recouvrer la liberté.
2003
Clair de lune | 100 x 120 cm | Acrylique sur carton, contrecollée sur bois, vernie à l’œuf
1995
Marchands de poissons | 100 x 120 cm | Huile sur toile, vernie, résinée
On distingue dans cette peinture ce qui préfigure la réinterprétation des statues de l’Île de Pâques que Max Rovira intégrera à ses pièces suivantes. Les proportions sont volontairement inégales et le visage de chaque marchand est difficilement identifiable. Les lignes noires, soulignant entre autres les contours des personnages, renvoient à la technique du cloisonnisme.
GALERIE ET ATELIERS
Informations, rendez-vous
Chaque peinture est une rencontre. Désirée, fortuite, capable de faire défiler toute une vie en une seule seconde. À votre tour, vivez une rencontre inattendue.
NEWSLETTER
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MAX ROVIRA
L'artiste de la tempête
L’empreinte de Max Rovira est d’abord temporelle. Sa ligne débute dans ses souvenirs de vacances avec ses parents et ses deux frères, dans les Pyrénées et dans les Alpes. En fait, à des centaines de kilomètres de Port-de-Bouc dans les Bouches-du-Rhône, une petite commune coincée entre Fos-sur-Mer et Martigues. Les bêtises, le camping, le régal de cette jeunesse insouciante tutoient d’autres moments à Laboule, en Ardèche, dans la maison de ses grands-parents.